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Les projets pédagogiques comme « Refuges et tableaux noirs » sont confrontés auprès des jeunes à l’autorité des réseaux sociaux, des parents et intervenants professionnels qui ne sont pas au fait du bien-être animal et des méthodes positives.

 

Que répondre à la question fréquente des jeunes :

 

« Le collier électrique ou étrangleur ce n’est pas bon pour le chien ?

Mon tonton vient d’en acheter un dans un magasin, il dit que ça marche et qu'en plus c’est autorisé donc pourquoi ce serait mauvais ? » 

 

En conclusion, la question qui se pose régulièrement et qui ne trouve pas de réponse satisfaisante à ce jour…

 

COMMENT JUSTIFIER AUPRES DES JEUNES LA VENTE LIBRE DE CES OUTILS ET EN MÊME TEMPS LEUR APPRENDRE LES
FONDEMENT DU BIEN-ETRE ANIMAL ? 

LEUR FAIRE DECOUVRIR LES CONVENTIONS EUROPEENNES EN TERMES DE BIEN-ETRE ANIMAL ET CONSTATER QU'ELLES NE SONT PAS RESPECTEES SUR LE TERRAIN GRACE A DES OUTILS EN VENTE LIBRE.

 

Leur interdiction est essentielle à la cohérence avec les avancées et recherches scientifiques ainsi que la réglementation européenne en termes de BEA.

La prise de conscience se doit d’être politique mais aussi au niveau du milieu professionnel (éducateurs, clubs canins, comportementalistes) et des revendeurs de ces outils.

 

Aussi, afin de permettre aux maîtres de ne pas être perdus dans la jungle des propositions éducatives tant coercitives que respectueuses, il devrait être obligatoire pour tout professionnel de présenter en détail sur son site internet et ses réseaux les méthodes qu’il utilise, ses formations, sa philosophie afin que chacun puisse faire des choix en ayant toutes les cartes en main.  

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